Moi le cardinal Emilio dal Monté, 1er secrétaire d’état auprès de notre Très Saint Père Stéphane 1er, afin d’édulcorer le travail de notre Sainteté, suis chargé des affaires extérieurs concernant les Saint Siége. Je serais donc la voix du Souverain Pontife de la Très Sainte Eglise Catholique.
Le Saint Siège a été mis courrant de la rupture du traité de Gibraltar par l’Angleterre, et nous en sommes aussi indignés que vous. Cette perfide à déjà refusé par trois fois toute relation diplomatique avec nous, en brisant ainsi les liens qui nous unissent depuis le Vie siècle, bien que très affaiblies par la Réforme mais tout de même présentes.
L’Angleterre a bien changé, depuis ce noble Chevalier Arthur grand parmi les grands. Si seulement ce Wellingtown prenait exemple sur ses péres… Mais non, aux lieux de cela, ce fourbe choisit la voix du déshonneur et de la lâcheté.
Soit, qu’il fasse, qu’il fasse. Mais je peux d’or et déjà vous assurer que les fidèles qui se trouvent sur le territoire de la couronne ne se laisseront pas faire ! Jamais, monsieur, nous ne sommes laissés marcher sur les pieds. Et ça ne sera pas aujourd’hui que cela va commencer ! Vous en avez ma parole !
Outré, indigné, voilà dans quel etat je suis.
Ferdinand VII, soyez assuré de notre plus profond soutien.
cardinal Emilio dal Monté,
1er secrétaire d’état